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Description
self portrait

L'Art… Jeux de mots, adossé en dollars, Ca vaut bien de l'or, à foison d'argent.
Blanchis par ta semence, épris mate. Tes songes en singeries libidineuses.
De lard, et souvent à tire-larigot cochon. Tire à profusion, et profites si tu peux…

« Comme elle est belle ! Je bande ! » - Qui te plait? La photo ou la Dame ?
Regardes, obnubilé par les courbes, ce sexe imberbe qui t'appelles, mirage.
Incapable de voir autre chose qu'une proie libre, soubrette de ta soif la plus folle.
Pour peu que tu affectionnes le cher te tendre pucelage infantile en cabriole.
« Les enfants, seules âmes si chastes, si délicates, si raffinées, dénués de vices ».
Toi… tout le contraire probablement.

Discourir à tort et à travers l'émancipation, la liberté d'expression.
La critique impartiale, objective, juste, créative, avant-gardiste.
Moraliser un art hors du commun, et philanthropique.
Aimer avec un grand « A » la photo, l'art, la féminité.
Alors que tu ne fais que fantasmer, rince doigts et rince l'œil…
A ne saisir le propos mis à nu, dans l'origine du monde de Jean-Désiré-Gustave Courbet
Assume donc tes glandes, ton gland imbibé inexorable ! Assume !
Faire valoir un art pseudo codifié, intellectualisé. Pour faire passer ses vices.
Comme de la chair en saucisse dans un broyeur moralisateur.
Pourquoi serait-ce si infect que d'aimer l'érotisme, la pornographie ?

De l'Art compte en peaux de reins dont la chaude pisse devient un mythique jet doré.
Tu ferais mieux d'aller sur meetic, pour assouvir tes convoitises voraces.
Tes représentations lesbiennes de corps pré pubères me donnent la nausée.

Je m'endors, je baille. D'autres en jouissent. Branlette de l'esprit, et point de vue.
Votre Art m'ennuie. Votre pamphlet sent le repentis. A vomir.
Contradiction, votre violente aversion pour les vendeuses de sexe, …
Je n'ai jamais prétendu faire des étincelles avec mes bricoles.
Simplement, moi, j'assume mes fantasmes, mes vices.
Si c'est ça l'Art, se branler sur des icônes d'enfant érotisé, je préfère rester comme Ed wood.
Un désastreux, nullissime metteur en scène simplement passionné.

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L'Art… Jeux de mots, adossé en dollars, Ca vaut bien de l'or, à foison d'argent.
Blanchis par ta semence, épris mate. Tes songes en singeries libidineuses.
De lard, et souvent à tire-larigot cochon. Tire à profusion, et profites si tu peux…

« Comme elle est belle ! Je bande ! » - Qui te plait? La photo ou la Dame ?
Regardes, obnubilé par les courbes, ce sexe imberbe qui t'appelles, mirage.
Incapable de voir autre chose qu'une proie libre, soubrette de ta soif la plus folle.
Pour peu que tu affectionnes le cher te tendre pucelage infantile en cabriole.
« Les enfants, seules âmes si chastes, si délicates, si raffinées, dénués de vices ».
Toi… tout le contraire probablement.

Discourir à tort et à travers l'émancipation, la liberté d'expression.
La critique impartiale, objective, juste, créative, avant-gardiste.
Moraliser un art hors du commun, et philanthropique.
Aimer avec un grand « A » la photo, l'art, la féminité.
Alors que tu ne fais que fantasmer, rince doigts et rince l'œil…
A ne saisir le propos mis à nu, dans l'origine du monde de Jean-Désiré-Gustave Courbet
Assume donc tes glandes, ton gland imbibé inexorable ! Assume !
Faire valoir un art pseudo codifié, intellectualisé. Pour faire passer ses vices.
Comme de la chair en saucisse dans un broyeur moralisateur.
Pourquoi serait-ce si infect que d'aimer l'érotisme, la pornographie ?

De l'Art compte en peaux de reins dont la chaude pisse devient un mythique jet doré.
Tu ferais mieux d'aller sur meetic, pour assouvir tes convoitises voraces.
Tes représentations lesbiennes de corps pré pubères me donnent la nausée.

Je m'endors, je baille. D'autres en jouissent. Branlette de l'esprit, et point de vue.
Votre Art m'ennuie. Votre pamphlet sent le repentis. A vomir.
Contradiction, votre violente aversion pour les vendeuses de sexe, …
Je n'ai jamais prétendu faire des étincelles avec mes bricoles.
Simplement, moi, j'assume mes fantasmes, mes vices.
Si c'est ça l'Art, se branler sur des icônes d'enfant érotisé, je préfère rester comme Ed wood.
Un désastreux, nullissime metteur en scène simplement passionné.